"Les citrouilles du diable" - L’École des loisirs - 1981
Illustrations Michel Gay

Jean, fils de Maître Guillaume, au grand désarroi de ses parents, devient jongleur au château du roi. Alors que la peste ravage le royaume, Jean relève le défi du diable, sauve la fille du roi et son peuple de la mort inéluctable et épouse la jolie princesse. Un conte empli de fantaisie et ne naïveté, illustré par l'excellent Michel Gay.
"Pâtatarte" - Éditions du Centurion - 1982
Illustrations Irène Stegmann

En pâtissière expérimentée, la Mère Pancroque a façonné dans de la pâte à tarte un adorable bambin aux yeux de fruits confits. Elle qui souffre de la solitude le prend aussitôt pour son fils. Par amour, elle lui interdit de sortir de la maison. Mais Pâtatarte s'ennuie. Inconscient du danger, il va s'enfuir à la découverte du monde...
"Le roi Emile" - Éditions du Centurion - 1983
Illustrations Michel Guiré-Vaka

Le roi Emile est triste car il n'a pas d'amis. Qui voudrait fréquenter quelqu'un d'aussi insupportable ? Mais voilà que les Gourmands, ennemis tutélaires du royaume, se mettent à grignoter le pays. Le roi Émile prépare ses troupes à un combat qui va considérablement changer le caractère du monarque.
Édition en langue espagnole

"Fiston et Gros-Papa" - Fernand Nathan - 1983
Illustrations Michel Gay

Moi, c'est Fiston et mon père, c'est Gros-Papa. On vit ensemble et on s'aime très fort. Ma mère est déesse chez les Pygmées. Gros-Papa est horloger, il fabrique l'heure du quartier. Il aime Napoléon, son violon et les gros gâteaux ! Mon père veille sur moi, un tout petit peu trop... Avec un papa poule, on vit comme un coq en pâte.
Édition en langue espagnole

"Fiston marie Gros-Papa" - Fernand Nathan - 1986
Illustrations Michel Gay

Gros-Papa se trouve trop gros et ne pense plus qu'à maigrir. Pour Fiston, il y a de l'amour dans l'air. Et ça n'est pas facile à gérer quand votre petite copine vient de déménager et que votre mère réapparaît brusquement, au bout de huit ans d'absence. Mais Fiston peut compter sur le meilleur des pères. Essayez donc de rester petit quand la vie décide de vous faire grandir.
Édition en langue espagnole

"Nicolas et son robot" - Centurion Jeunesse - 1985
Illustrations Michel Gay

Nicolas vit seul avec son père qui est un inventeur. Le garçon s'ennuie jusqu'au moment où il fait la connaissance d'un robot-arroseur dans son jardin. Ils partent tous les deux en ville, à l'aventure.
"Le nez de Véronique" - L'École des loisirs - 1986
Illustrations Claude Boujon

Véronique est blonde et sourit toujours mais enfin, c'est vrai, son nez est très gros. Pourtant, la petite fille ne s'en plaint pas...
Pourquoi être "normale" ?
Édition en langue étrangère

"La nuit du Boufadou" - L'École des loisirs - 1987
Illustrations Philippe Dumas

"Marion Briquet aime les histoires horribles, mais VRAIMENT HORRIBLES (avec des araignées, vampires, squelettes, etc...). Son père est pareil : il passe ses soirées à dévorer des contes abominables (avec d'autres araignées, vampires, squelettes, etc...). Mais il prétend avec un air supérieur que ses lectures à lui sont bien plus horribles que celles de sa fille. [...] Alors, furieuse, Marion Briquet décide un soir de donner une bonne leçon de frousse à son père..."
"Monsieur Max ou Le dernier combat" - L'École des loisirs - 1988
Roman

Benoit trouve le temps bien long entre ses parents, de riches industriels de province qui se disputent sans cesse, et Mademoiselle Kourkov, sa vieille prof de piano. Heureusement que survient dans sa vie Monsieur Max, le nouveau veilleur de nuit de la biscuiterie que dirige son père. Monsieur Max est un ancien boxeur que Benoit va aider à remonter sur le ring. Un livre où s’enchevêtrent les aventures avec truculence, où les personnages abondent et que Pussey maitrise avec la verve et la tendresse auxquelles il nous a habitués.
"Cent vingt-quatre" - L'École des loisirs - 1990

La garderie du mercredi est un véritable supplice pour Alec, Léo et Benoît, bouclés dans la cour de l'école Marcelin-Marcel. Un jour, surgit Cent Vingt-Quatre, une minuscule fillette, pétulante et fantaisiste, habillée comme un clochard. Très vite, elle s'impose à eux comme un véritable chef de bande. Ils vont vivre ensemble des aventures qui font de leur mercredi un jour que les garçons attendent maintenant avec impatience. Mais Alec, Léo et Benoît, qui sont tombés sous le charme de Cent Vingt-Quatre, s'interrogent : qui est-elle réellement ?
"Maman a disparu" - L'École des loisirs - 1990

Moi, ce que j'aime, c'est aller avec mon père et le gendarme Éric pêcher en bateau sur le lac. Seulement voilà, nos balades nous entraînent souvent loin dans la nuit et ma mère en a assez de nous attendre chaque soir, avec le rôti qui brûle et les nouilles trop cuites. La seule fois où on a essayé de l'embarquer avec nous sur notre rafiot, elle a tenu à emmener Guillaume, mon petit frère, qui a passé son temps à s'emmêler dans le fil de pêche. Catastrophe ! Depuis, plus question de les prendre à bord ! Alors ma mère râle de nous voir toujours partis à l'aventure et elle, obligée de nous attendre au port. Elle râlait tant qu'un soir elle a dit:
- Je vous préviens, mes petits Briquet, un jour, je m'en irai...
Et ce qui fut dit fut fait: un jour, MAMAN A DISPARU !
"Le Noël du Père Noël " - L'École des loisirs - 1991
Illustrations Claude Boujon

Julien a sept ans. Il se dispute tout le temps avec ses copains, Gus et Léo, parce que ceux-ci croient malin de ne plus croire au Père Noël. Julien, lui, y croit. Et justement, un jour où il fait spécialement gris et froid, il voit passer une drôle d'ombre à mobylette. On dirait exactement le Père Noël... Il guette, et le lendemain, hop ! il revoit passer l'ombre. Alors commence une aventure incroyable...
Édition en langue japonaise

"Le hold-up de la tour Eiffel" - L'École des loisirs - 1992
Illustrations Jean-Charles Sarrazin

Frédéric, qui veut être détective plus tard comme son père, se demande si par hasard les nouveaux voisins aux allures suspectes ne seraient pas les responsables du fameux hold-up de la tour Eiffel. Mais quand il expose ses soupçons à son père, celui-ci s'en amuse. Il a tort, et Frédéric va le lui prouver...
"Le chauffeur d'autocar" - L'École des loisirs - 1994

Quand Monsieur Marcel, le conducteur du car de ramassage scolaire, nous a annoncé qu'il nous abandonnait car un destin plus prestigieux l'attendait à Paris, nous nous sommes tous sentis un peu vexés. Nous ne savions pas encore que c'était une bonne nouvelle. Et puis son remplaçant est arrivé, il s'appelait Jacques Preumier, mais il nous a suggéré de l'appeler Capitaine, et nous a expliqué que sa famille était exclusivement composée d'animaux. En fait, ce n'était pas seulement un chauffeur d'autocar, il pouvait aussi piloter un vaisseau spatial, ou un char d'assaut, suivant les jours. Nous, nous l'avons tout de suite beaucoup aimé. Nos parents, par contre, n'ont pas tardé à trouver anormal que le car scolaire soit repeint couleur mandarine, qu'il abrite toute une ménagerie, et que son chauffeur le conduise avec des plumes d'indien sur la tête.
"Les vélos rouillés" - L'École des loisirs - 1997

Lorsque Monsieur de Monsérac m'a fait venir au château pour me demander de devenir l'homme de compagnie de son père, j'étais un peu inquiet. Jusqu'ici, j'avais fait d'autres genres de petits boulots : garder des enfants, tondre une pelouse, peindre des volets. Je n'avais jamais fait la lecture à un vieux monsieur de quatre-vingt-deux ans.
"En attendant ton retour" - L'École des loisirs - 1999
Roman

Ton père n'est pas comme les autres pères. Tout le monde me le dit et tout le monde le pense. Quand mes copains le disent, c'est sur un ton de respect admiratif et de complicité : Il les bat à tous leurs jeux. Forcément, il passe son temps à jouer. Quand ma mère le pense, c'est avec des soupirs de ras-le-bol, des mines fatalistes, et des regards désapprobateurs. C'était juste avant qu'elle ne fasse sa valise pour toujours. Moi, il faut bien que je reste pour veiller sur lui. J'ai décidé de raconter tout ce qui nous arrivera dans un roman, et de le faire lire à ma mère, en feuilleton, quand je la verrai. D'ailleurs, dans un roman, on écrit ce qu'on veut. Parfois on déforme les faits pour servir une juste cause. Et si mon père devenait un père comme les autres, pour servir la juste cause du retour de ma mère ?